La vision de Nikon me parle, sa façon de concevoir un boitier, son goût pour l’esthétisme, sa rigueur et sa considération pour les photographes. Le Z7 est beau, solide, et bien conçu même si on peut toujours faire mieux. Le plus important pour moi est la taille et le poids du boitier d’un capteur plein format en version hybride. Après plusieurs mois d’utilisation, j’adore. J’adore le déclenchement que je retrouve sur un reflex. J’adore ce claquement rapide avec ce son particulier. J’adore le rendu des couleurs, la maîtrise en basse lumière.
En basse lumière, le Z7 s’en sort très bien avec une très bonne maitrise en monté en iso, même la qualité optique du 50mm F1.8 à largement contribué à la réalisation de ce cliché. Ici, il n’est pas question d’utiliser un flash. Il me semble qu’il est bien plus intéressant de restituer une ambiance authentique de l’endroit.
Avec 493 points AF et ses 45,7 millions de pixels, le Z7 me permet d’être encore plus précis dans mes prises de vue. Il me permet d’aller encore plus loin dans les détails pour mes travaux. Attention, je n’ai pas dit qu’il peut rivaliser avec mon GFX. Ce n’est pas comparable. Un moyen format restera toujours un moyen format.
La réactivité compte évidement, surtout lorsqu’on parle de l’instant « T », lorsque je saisis une scène sur le vif à main levé. Pas une seconde plus, ni une seconde de moins.
La stabilisation sur 5 axes est vraiment efficace, si bien tout devient naturel, comme si c’était une évidence d’avoir un cliché net à quelques milliers de mètres en altitude dans un hélicoptère qui s’improvise « space montain ».
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